François et Jiang ont un quotidien rythmé : trois jeunes enfants, des carrières bien remplies et des week-ends ponctués par les cours de karaté et de guitare! Les études postsecondaires de leurs petits sont encore loin, mais leur financement, ils y pensent déjà.Katherine est une maman monoparentale qui met les bouchées doubles pour boucler les fins de mois. Ses trésors ne manquent de rien, mais elle appréhende quand même l’approche de leurs études avec un peu d’inquiétude.Claude est travailleur autonome et ses revenus fluctuent considérablement au fil des mois. Les périodes très achalandées succèdent à celles où les contrats se font plus rares. Son fils, en troisième secondaire, commence déjà à s’intéresser aux programmes qu’offre le cégep de sa région.Difficile de croire qu’un produit financier puisse être avantageux pour tous ces parents soucieux de soutenir leurs enfants dans leur parcours scolaire. Ils ont des profils et des situations financières si différentes! Le régime enregistré d’épargne-études (REEE), qu’on peut être porté à voir comme un véhicule de placement rigide, sait pourtant s’adapter aisément aux besoins des familles.
François et Jiang : un REEE qui grandit doucement, mais sûrement
À la naissance de leur premier enfant, Jiang connaissait déjà bien le REEE et savait que les sommes qu’ils y investiraient seraient
bonifiées de 30 % à 60 % par les subventions gouvernementales* . C’est ce qui les a convaincus de choisir le REEE : ils ne voulaient pas passer à côté de cette aide des gouvernements!En discutant de leur budget et de leurs attentes avec leur représentante en plans de bourses d’études, François a été clair : il fallait qu’ils se donnent l’habitude d’épargner régulièrement, sinon ils ne le feraient jamais.
C’est pourquoi ils ont opté pour des cotisations prélevées automatiquement chaque mois. Les REEE de leurs tout-petits se garnissent donc sans qu’ils aient à y réfléchir. Avec leur quotidien fort occupé, c’est la formule qui leur convient le mieux.
Katherine : un REEE qui n’a pas besoin qu’on y cotise
Pas toujours simple d’équilibrer les colonnes des dépenses et des revenus quand la famille compte sur un seul salaire! Mais Katherine y arrive bien, avec un peu de prévoyance.
Quelques années la séparent encore des études postsecondaires de ses enfants, mais il lui arrive de se demander comment elle fera pour assumer ce fardeau financier, le moment venu. Ses enfants réussissent bien à l’école et elle aimerait qu’ils puissent choisir les études de leur choix, sans que leur coût ne devienne un frein.Une collègue lui a parlé du Bon d’études canadien**, une subvention gouvernementale destinée aux familles à faible revenu comme la sienne. En s’informant davantage, elle a appris que
certains fournisseurs de REEE permettent à ces familles d’ouvrir sans frais un REEE pour y recevoir cette subvention. Comme elle y est admissible , c’est
jusqu’à 2 000 $ par enfant qu’elle peut recueillir et faire fructifier pour leurs études, sans devoir verser un seul sou!
Claude : un REEE flexible sans engagement
Comme sa rémunération est atypique, Claude voulait le plus de souplesse possible pour tous ses engagements financiers. À l’ouverture du REEE pour son fils, il était soulagé d’apprendre qu’il pouvait opter pour une formule d’épargne où il choisit le montant de ses cotisations et le moment où il les fait. C’est parfait pour lui! Aucune obligation d’épargner dans les périodes creuses, mais toute la liberté de se reprendre quand les entrées d’argent sont plus nombreuses.Maintenant que les projets d’avenir de son fils commencent à se préciser, il veut
accélérer ses habitudes d’épargne pour faire croître son investissement au maximum. C’est pourquoi il a décidé de rattraper les subventions gouvernementales qu’il n’a pas reçues par les années passées.La morale de l’histoire? On a tout à gagner à être pleinement transparent lorsqu’on discute avec un professionnel du domaine financier. Après tout,
c’est en connaissant nos objectifs, mais aussi
nos habitudes et nos contraintes financières que celui-ci est en mesure de nous proposer la solution qui correspond le mieux à notre réalité.
*Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20 % à 40 %. Selon le revenu net familial rajusté. Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10 % à 20 %. Selon le revenu net familial rajusté. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus à universitas.ca.**Bon d’études canadien (BEC), pouvant atteindre 2 000 $ par bénéficiaire, pour un enfant né après le 31 décembre 2003 et dont la famille est financièrement admissible. Certaines conditions s’appliquent. Pour plus de détails, consultez notre prospectus à universitas.ca.