Merci d’avoir mis en lumière le précieux travail des coachs familiaux dans votre article « Parents en détresse ? Un coach à la rescousse » paru le 17 février dernier.
C’est un atout et un privilège de pouvoir entrer dans l’intimité des familles afin de les accompagner dans cette belle aventure qu’est celle d’être un parent! Chaque parent mérite d’avoir la chance de recevoir le soutien d’une personne qualifiée ayant des compétences cliniques et pratiques pour le guider à travers l’apprentissage des habiletés parentales pouvant favoriser l’harmonie familiale et surtout, la confiance en ses propres compétences..
L’importance d’une expérience clinique validée
Le Québec, ce que vous nommez (et ça en a fait sourire plus d’un ici!) « outre-Atlantique », est le leader en coaching familial mondialement pour les francophones.
Nous avons collectivement décidé d’encadrer davantage ce type d’approche afin d’assurer aux parents une qualité d’intervention. Une formation en coaching familial très complète a été développée et a d’ailleurs été suivie par les deux coachs familiaux cités dans votre article.
Depuis 2011, les coachs familiaux du Québec ont uni leurs forces pour développer leurs compétences en tant que professionnels. Notamment, pour s’assurer de seuils d’expérience minimums pour pratiquer comme coach familial. Les curriculums vitae, les diplômes, les certificats et les attestions de formation ainsi que les attestations d’heures travaillées (3 à 5 ans de pratique, 4500-9000 heures au minimum) sont attentivement validés afin de s’assurer qu’ils répondent aux stricts critères d’adhésion.
Actuellement, d’autres regroupements européens n’exigent qu’un paiement pour faire partie d’un réseau de coach comme le nôtre. Comme leur pratique en tant que réseau est jeune, il est à prévoir que ce sera corrigé au fil des mois.
Les français cherchent, les québécois aussi!
À chaque mois, plus de 30 000 parents européens (surtout français) traversent l’Atlantique via le web pour trouver des réponses à leurs questions auprès des coachs québécois. En nombres absolus, il s’agit de données similaires aux parents québécois*.
La gestion du sommeil et de l’alimentation, la relation à l’autorité et les conflits, la transmission des valeurs familiales sont toutes des thématiques qui passionnent et inquiètent les parents peu importe leur pays de résidence.
L’objectif commun
En bout de ligne, n’avons-nous pas tous le même objectif? Accompagner nos enfants, les adultes de demain, à cultiver le meilleur d’eux-mêmes et ce, en fonction de leur rythme et personnalité? J’en suis convaincue!
*sur le site du regroupement de coachs familiaux nannysecours.com